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À l'occasion du rassemblement des descendants de Guillaume Fol et Marie Cadoret, le 29 août 2004 à Saint-Brandan, notre association a publié un ouvrage de plus de cent pages au format A4, très documenté et agréablement présenté sur un beau papier de 135 grammes :

Le Livre de Raison de Guillaume Fol et Marie Cadoret et de leurs descendants.

Les auteurs de ce livre dont la diffusion est familiale sont Marie-Paule et Jean-Luc Madoré.

Les pages que vous trouverez sur ce site s'inspirent largement de ce travail.
 
 

Sommaire

1. De bien jeunes ancêtres : Le nom de notre ancêtre Guillaume Fol apparaît pour la première fois dans les registres paroissiaux de la trêve de Léhart le 29 décembre 1699... Lire la suite... 
    
2. Une mission à accomplir : Le jeudi 9 février 1702 naît le deuxième enfant de Guillaume et Marie ; c’est une fille : Anne. Elle est baptisée le surlendemain en l’église tréviale de Léhart. Ses parrain et marraine sont Alain Le Cozléer et Élisabeth Jouan... Lire la suite...
     
3. Au fil des saisons : Jacques, l’aîné des enfants, a maintenant plus de 6 ans. Il porte une sorte de robe comme tous les enfants – garçons ou filles – de son âge. Sa bonne mine fait plaisir à voir... Lire la suite...
   
   
4. À la foire de l'Étang Neuf : En ce début de décembre 1710, Guillaume, accompagné de quelques voisins, se rend à la foire de Stang Nevez (l’Étang-Neuf), en Saint-Connan. Cette manifestation marque chaque année les dernières semaines avant Noël... Lire la suite...
   
   
5. Parrains et marraines : Le 4 janvier 1711, alors qu’on l’attend peut-être pour un peu plus tard, voici une nouvelle naissance, c’est un garçon. Il fait nuit, c’est le dimanche soir... Lire la suite...
   
   
6. Révoltes et séditions : Grand émoi autour de l’église de Léhart en ce dimanche 8 juillet 1714 ; chacun commente à sa façon les événements de l’avant dernière nuit... Lire la suite...
   
   
7. Deuils et mariages : Le carême de 1730 vient de commencer. Le 22 février, mercredi des Cendres, le prêtre répand une pincée de cendre sur la tête des fidèles... Lire la suite...
   
   
8. Usages et coutumes : Samedi 6 janvier 1731, c’est la fête de l’Épiphanie : pas question de vaquer aujourd’hui aux travaux habituels ; l’Épiphanie est une fête chômée. Avec les voisins et voisines, Jeanne prend la direction du bourg pour la grand-messe de onze heures. Mais aujourd’hui, Claude Jouan, le voisin, ne les accompagnera pas ; il assiste à la messe à l’abbaye de Coëtmaloën car, pour respecter la coutume, il doit... Lire la suite...
   
   
9. Insécurité et difficultés économiques : Les temps sont difficiles pour les domaniers. Ceux de Coëtmaloën se révoltent une nouvelle fois. Dans l’après-midi du 8 novembre 1733... C’est dans ce contexte d’incertitude et de révolte que Bertrand naît le samedi 7 novembre 1739 à Gatalouarn, un village tout proche de Kerscouarhat. Gatalouarn, c'est étymologiquement le village du lièvre et du renard, mais c'est aussi depuis 7 ou 8 ans, le domicile de Marie-Anne Le Colen dite Marie Scalliérou, en français Marie Lescalier... Lire la suite...
   
   
10. Les malheurs d'un meunier : Voilà deux ans que les affaires de Jean Pezron, vont mal. Déjà meunier au moulin du Trieux en Léhart et bien que ne disposant pas de l’argent nécessaire, il n'a pas su résister à la flatterie et a accepté la ferme du moulin de l’Étang-Neuf en Saint-Connan. Mais le prix du blé n’a cessé de décroître... Lire la suite...
    
    
11. Décrété de justice : Le dimanche 7 septembre 1760, est faite, au cours de la messe à Senven-Léhart, la première publication des bans du futur mariage entre Bertrand Fol et Marguerite Raoul. Bertrand est orphelin de père et n’a que vingt ans. On est encore mineur à cet âge. Pour que le mariage puisse être célébré, il faut donc que la juridiction royale de Saint-Brieuc en examine le projet et donne son accord... Lire la suite...
    
    
12. Au Pardon de Calédar : Ce 10 août 1769, Bertrand prend de bon matin la direction de Calédar en la paroisse du Vieux-Bourg-de-Quintin. La veille a eu lieu la foire de ce village mais Bertrand n'y était pas. Il a préféré attendre le jour même de la fête de Saint Laurent pour participer au pardon du grand saint... Les groupes de pèlerins sont de plus en plus nombreux sur le chemin. Passé Coldabry, chacun se demande s'il va pouvoir franchir facilement le ruisseau de Villeneuve au gué de Kerantraou... Lire la suite...
    
    
13. Un ancêtre voyageur : Claude Fol, le fils de Jacques et de Jeanne Thomas, le frère de Bertrand, a maintenant trente-deux ans. Depuis sa naissance en 1744, aucune trace de lui à Senven-Léhart : son nom n’est pas cité lors de la sépulture de son père ; il n’est le parrain d’aucun de ses neveux et nièces. Lui, le benjamin, ne serait-il pas allé chercher fortune ailleurs ? ... Lire la suite...
    
    
14. La Révolution gronde : Au Foeil comme dans les paroisses voisines, on rédige dans l'enthousiasme les cahiers de doléances. Les députés les porteront au roi à Versailles : il se rendra compte de la véritable situation de son peuple et fera effectuer les réformes qui conviennent... Avec tout le peuple des paysans et des artisans du pays de Quintin, Claude Fol nourrit ce grand espoir... Lire la suite...
    
    
15. Les enfants de la Ville Auvé : Le 14 février 1803 au Foeil, Jean Louis, tout jeune veuf de 23 ans, épouse Michelle Gicquel qui en a 22. Ses parents habitent à la Belle Aire d'à Bas en Le Foeil. Sa mère est  Marie Jeanne Allaire. Son père, Gilles Gicquel, laboureur, est conseiller municipal. Guillaume Gallouët, le maire, qui reçoit les consentements des jeunes mariés, est voisin et ami de la famille Gicquel... Lire la suite...
    
    
16. Le grand-oncle oublié : Né le 15 avril 1890 au Foeil, Yves était le plus jeune... Lire la suite...